20 septembre 2007
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09:53
Un capitaine "Guignol" , idioties et viols .
Je ne sens pas comme Shérif une inquiétude particulière et quand Djamila offre son corps de liane a ma convoitise je suis plutôt au ciel que dans la crainte . Mais ce matin un ordre venu de l'EM m'apprend qu'une opération est monté pour investir une mechta ( un groupe d'habitations indigènes ) a proximité de la ville . Et là , je vais faire connaissance avec les conneries de l'armée Françaises . A lieu d'en confier la direction et la composition a des baroudeurs chevronnés , des cadres parachutistes par exemple , c'est un capitaine de l'intendance( ou commandant je ne me souviens plus) qui doit monter l'opération . Des gus sont ramassés dans tous les bureaux et les casernements de la place plus quelques paras du Centre et de la SEPP. Les vrais guerriers sont en opération loin de la ville .
Par chance pour nous , le groupe des paras sera directement commandé par un vieil adjudant para ayant bourlingué depuis la campagne de France dans tous les guêpiers possibles . Au lieu de nous glisser depuis la ville par des cheminements nous amenant aux quatre points de l'horizon pour boucler cette mechta et , bien entendu , a pied , le "big boss" a décide une approche frontale en véhicule . Ce capitaine d'opérette , n'a pas du étudier la carte car il n'y a qu'une petite piste muletière en partant de la route . Je la connais bien pour l'avoir emprunté de nuit avec Sherif .
Je regarde la désapprobation dans le regard de mon adjudant qui n'a pas réussi a infléchir la décision de ce capitaine bedonnant .De plus les 6/6 arrivent ainsi que les GMC , ridelles hautes ......allez donc vous éjecter rapidement de tels véhicules ! Deuxième connerie de taille je m'aperçois que le convoi se dirige a grands coup d'accélérateurs vers "notre mechta" , je me penche vers l'adjudant a coté du chauffeur - y aura personne de jour - il me regarde bizarrement et éclate de rire - le contraire t'étonnerait hein , toi l'oiseau de nuit ! Ainsi les renseignements fournis par sherif et moi sont utilisés par des branquignols qui , comme on dit vulgairement , " nous cassent la baraque ".
Les fells vont être alertés et ne sont pas près d'y revenir . Le "Guignol" hurle , groupe A , sur la droite , groupe B sur la gauche les autres avec moi au centre . A ce moment là , j'ai envie de me tordre de rire car les jeunes hommes du village , sont déjà a mi-pente de la petite colline au dessus et disparaîtrons bientôt dans le djebel . Et l'autre qui hurle - mais tirez , bon dieu , tirez ........ avec quoi mon capitaine , vous n'avez prévus que des armes légères ...... venant de la cavalerie il croyait refaire la charge de la brigade légère , ce con ! Rigolo !
Ce qui suit est moins drôle car sans la présence des paras , toutes les jeunes filles du village seraient passées a la casserole comme ils disent . Les paras sont peut-être des "voyous" mais nos chefs ont su nous inculquer un sens de l'honneur . Des pauvres types ont cassés des glaces que ces gens simples avaient eu tant de mal a se procurer et qui étaient un trésor pour eux . Je suis rentré de cette "opération" écoeure . J'y ai vu la bêtise , la vulgarité et la nocivité d'un individu qui se croit avoir a tout pouvoir parce qu'il porte un uniforme .
Mon adjudant aussi écoeuré que moi mais blasé me dit en souriant t'en verra d'autres et pour commencer la libération de ta classe c'est pas pour tout de suite . Cela m'a remonter le moral comme vous pouvez pas savoir !
En arrivant chez shérif ce soir , Djamila voit tout de suite que j'ai ma tête des mauvais jours . Sa petite bouche me dévore de baisers et le bas de son corps ondule doucement pour m'obliger a ne penser qu'a elle , a la satisfaire et sombrer dans une douce torpeur . C'est bon d'être dans se bras d'oublier la guerre , cette drôle de guerre d'Algérie . Djamila dort nue , a moitié couchée sur moi et a chaque fois que je veux me dégager , elle me serre encore plus fort .
Cette nuit , rien n'est prévu et après mon récit , sherif est rentré dans une colère destructrice , un joli guéridon en a fait les frais . Je crois que le pitaine des " riz-pain-sel" a du soucis a se faire car je n'avais jamais vu shérif dans un état pareil .
< en reprenant mes carnets je ne peus affirmer qu'il s'agissait d'un capitaine ou commandant de l'intendance , comme je ne me souviens plus de l'origine des autres "vatenguerres" , en particulier de ceux qui se sont si mal conduit . Avant que nous puissions intervenir avec l'adjudant , ils ont tout de mêmes violé deux ou trois filles . C'est vraiment une honte pour l'armée Française . La casse de leurs misérables objets , qui étaient sans doute des trésors pour eux , est également une honte . Mais le pire était a venir . >
Je ne sens pas comme Shérif une inquiétude particulière et quand Djamila offre son corps de liane a ma convoitise je suis plutôt au ciel que dans la crainte . Mais ce matin un ordre venu de l'EM m'apprend qu'une opération est monté pour investir une mechta ( un groupe d'habitations indigènes ) a proximité de la ville . Et là , je vais faire connaissance avec les conneries de l'armée Françaises . A lieu d'en confier la direction et la composition a des baroudeurs chevronnés , des cadres parachutistes par exemple , c'est un capitaine de l'intendance( ou commandant je ne me souviens plus) qui doit monter l'opération . Des gus sont ramassés dans tous les bureaux et les casernements de la place plus quelques paras du Centre et de la SEPP. Les vrais guerriers sont en opération loin de la ville .
Par chance pour nous , le groupe des paras sera directement commandé par un vieil adjudant para ayant bourlingué depuis la campagne de France dans tous les guêpiers possibles . Au lieu de nous glisser depuis la ville par des cheminements nous amenant aux quatre points de l'horizon pour boucler cette mechta et , bien entendu , a pied , le "big boss" a décide une approche frontale en véhicule . Ce capitaine d'opérette , n'a pas du étudier la carte car il n'y a qu'une petite piste muletière en partant de la route . Je la connais bien pour l'avoir emprunté de nuit avec Sherif .
Je regarde la désapprobation dans le regard de mon adjudant qui n'a pas réussi a infléchir la décision de ce capitaine bedonnant .De plus les 6/6 arrivent ainsi que les GMC , ridelles hautes ......allez donc vous éjecter rapidement de tels véhicules ! Deuxième connerie de taille je m'aperçois que le convoi se dirige a grands coup d'accélérateurs vers "notre mechta" , je me penche vers l'adjudant a coté du chauffeur - y aura personne de jour - il me regarde bizarrement et éclate de rire - le contraire t'étonnerait hein , toi l'oiseau de nuit ! Ainsi les renseignements fournis par sherif et moi sont utilisés par des branquignols qui , comme on dit vulgairement , " nous cassent la baraque ".
Les fells vont être alertés et ne sont pas près d'y revenir . Le "Guignol" hurle , groupe A , sur la droite , groupe B sur la gauche les autres avec moi au centre . A ce moment là , j'ai envie de me tordre de rire car les jeunes hommes du village , sont déjà a mi-pente de la petite colline au dessus et disparaîtrons bientôt dans le djebel . Et l'autre qui hurle - mais tirez , bon dieu , tirez ........ avec quoi mon capitaine , vous n'avez prévus que des armes légères ...... venant de la cavalerie il croyait refaire la charge de la brigade légère , ce con ! Rigolo !
Ce qui suit est moins drôle car sans la présence des paras , toutes les jeunes filles du village seraient passées a la casserole comme ils disent . Les paras sont peut-être des "voyous" mais nos chefs ont su nous inculquer un sens de l'honneur . Des pauvres types ont cassés des glaces que ces gens simples avaient eu tant de mal a se procurer et qui étaient un trésor pour eux . Je suis rentré de cette "opération" écoeure . J'y ai vu la bêtise , la vulgarité et la nocivité d'un individu qui se croit avoir a tout pouvoir parce qu'il porte un uniforme .
Mon adjudant aussi écoeuré que moi mais blasé me dit en souriant t'en verra d'autres et pour commencer la libération de ta classe c'est pas pour tout de suite . Cela m'a remonter le moral comme vous pouvez pas savoir !
En arrivant chez shérif ce soir , Djamila voit tout de suite que j'ai ma tête des mauvais jours . Sa petite bouche me dévore de baisers et le bas de son corps ondule doucement pour m'obliger a ne penser qu'a elle , a la satisfaire et sombrer dans une douce torpeur . C'est bon d'être dans se bras d'oublier la guerre , cette drôle de guerre d'Algérie . Djamila dort nue , a moitié couchée sur moi et a chaque fois que je veux me dégager , elle me serre encore plus fort .
Cette nuit , rien n'est prévu et après mon récit , sherif est rentré dans une colère destructrice , un joli guéridon en a fait les frais . Je crois que le pitaine des " riz-pain-sel" a du soucis a se faire car je n'avais jamais vu shérif dans un état pareil .
< en reprenant mes carnets je ne peus affirmer qu'il s'agissait d'un capitaine ou commandant de l'intendance , comme je ne me souviens plus de l'origine des autres "vatenguerres" , en particulier de ceux qui se sont si mal conduit . Avant que nous puissions intervenir avec l'adjudant , ils ont tout de mêmes violé deux ou trois filles . C'est vraiment une honte pour l'armée Française . La casse de leurs misérables objets , qui étaient sans doute des trésors pour eux , est également une honte . Mais le pire était a venir . >