21 juillet 2009
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Chers amis , vous connaissez tous mon attachement au souvenir de l'Algérie ou j'ai passé trente deux mois . 1954/55/56 . 1er RCP et BAP/AFN .
Je veux donc relayer l'appel d'un pied-noir pour le souvenir de ce pays que j'ai aimé et ou j'ai été aimé .
LA MÉMOIRE DES PIEDS-NOIRS AU QUOTIDIEN
Madame, Monsieur, cher/e compatriote,
La mémoire des Pieds-noirs est en train de s'effacer. Nos parents, ceux qui ont encore la chance d’être parmi nous, ont maintenant entre 80 ans et 100 ans.
Pied-noir moi-même, né à Philippeville en 1947, je souhaite participer à la conservation de cette mémoire qui est en train de se perdre. Le livre que j’ai mis en chantier en janvier 2009, et pour lequel je sollicite votre participation, est destiné à conserver cet héritage. Pour information, je suis universitaire et spécialiste de psychologie ; ce qui explique en partie mon projet et la méthode que j’ai adoptée.
Je ne souhaite pas témoigner sur la "grande histoire" des pieds-noirs qui concerne la guerre et l’exode – et qui a fait déjà l’objet de nombreux livres – mais de la mémoire du quotidien, de ces mille et un petits riens de la vie qui passent inaperçus et qui pourtant fondent l'identité d'une communauté, révélée au travers de ses rites, de ses traditions, de ses bons mots, du souvenir des moments heureux ou malheureux ; bref, de ces petits détails qui façonnent les individus et qui influencent le mode de vie des enfants, petits enfants et arrière petits enfants de nos parents. Plus précisément, je m'intéresse à ce qui, dans ces modes de vie, se transmet de génération en génération, quelquefois de manière volontaire, plus souvent de manière incidente. Je souhaite témoigner sur les émotions et sur les sentiments ; ce dont on n’a finalement peu ou pas parlé et qui pourtant est notre plus profond dénominateur commun. Ceci, pour écrire un livre intitulé : "Mémoire de là-bas", auquel je vous propose de participer.
Pour préserver cette mémoire, et comprendre comment celle-ci se transmet, je procède à partir d’interviews de trois générations de pieds-noirs issues soit d’une même famille, soit (et parce qu’il est très difficile de remplir cette première condition) de familles différentes. La première génération concerne ceux qui avaient entre 30 et 40 ans au moment du départ, en 1962. La deuxième génération concerne ceux qui étaient adolescents en 1962, et qui avaient entre 13 et 20 ans. La troisième génération concerne les enfants nés en Métropole entre 1962 et 1982.
Je procède par des interviews individuelles d'une durée d’une à deux heures. Celles-ci sont enregistrées puis retranscrites. Je communique à l'interviewé le contenu de l'interview et il est libre de ne conserver que ce qu'il souhaite. Indépendamment de l'ouvrage, je transmets à chaque interviewé le manuscrit de son entretien.
Si mon projet vous intéresse, prenez contact avec moi, par téléphone (06 28 72 71 28) ou par courriel (Hubert.ripoll@univmed.fr).
Je vous remercie pour votre collaboration à cette entreprise
Le CES N° 1- l'école de saut . Philippeville 1955 .
JEUDI 24 JUILLET 2008
VOUS VOULEZ PARTICIPER À CETTE ENQUÊTE : FAITES-MOI PART DE VOS COMMENTAIRES ICI
Vous pensez à une/des question/s que vous aimeriez me voir poser aux personnes interviewées. Vous avez un avis sur la constitution de la mémoire des pieds-noirs, un souvenir, une émotion, que vous souhaitez faire partager dans "Mémoire de là-bas".
Merci de m'en faire part ici où à mon adresse e-mail : Hubert.ripoll@univmed.fr
PUBLIÉ PAR HUBERT RIPOLL
QUI SUIS-JE ?
HUBERT RIPOLL
CASSIS
Je suis né à Philippeville en 1947 J'habite Cassis (13) Je suis professeur de psychologie du sport à l'Université de la Méditerranée (Marseille)
COMMENT AVANCE MON TRAVAIL
J'ai démarré les interviews le 17 octobre 2008 par Marcel Weinachter, pied-noir de la première génération, né à Alger, puis par sa fille Nicole, née également à Alger, et d'André Navarro - première génération - né aussi à Alger.
Ceci m'a permis d'affiner ma méthode. J'ai par la suite interviewé les trois générations de la famille Muscat, qui vivait à Constantine, puis deux générations de la famille Canino, qui vivait à Philippeville.
Ces premières interviews m'ont permis de mieux préciser les contours de mon livre et le style d'écriture.
J'ai fait relire ces interviews à certains de leurs auteurs et leurs réactions m'ont touchées. Surtout les réactions des familles qui ont découvert, avec une grande surprise, ce qu'ils ne savaient pas de leurs parents ou de leurs enfants et petits enfants. Ils m'ont fait part de leurs émotions enfouies dans leur mémoire et bien rarement, voir jamais, exprimées.
J'ai ce livre en projet depuis très longtemps. J'ai toujours remis à plus tard. Il a fallu qu'un de mes proches, de la première génération, disparaisse pour que je me décide à m'y mettre avant qu'il ne soit trop tard. J'ai mis en chantier ce projet il y a déjà deux ans. J'ai beaucoup hésité, failli abandonner tant l'entreprise me semblait difficile, mûri aussi. Ces premiers retours m'ont convaincu de poursuivre.
Je vous attends pour votre interwiew
DESOLÉ . Mais OB me fait disparaitre mes photos sur l'Algérie de 1955/56..... Sur ordre ?
Vous ne verrez ni la place de Marquè ni la Caserne Mangin et cette grande place ou débute larue principale avec les arcades ....... Censure ?
Je veux donc relayer l'appel d'un pied-noir pour le souvenir de ce pays que j'ai aimé et ou j'ai été aimé .
LA MÉMOIRE DES PIEDS-NOIRS AU QUOTIDIEN
Madame, Monsieur, cher/e compatriote,
La mémoire des Pieds-noirs est en train de s'effacer. Nos parents, ceux qui ont encore la chance d’être parmi nous, ont maintenant entre 80 ans et 100 ans.
Pied-noir moi-même, né à Philippeville en 1947, je souhaite participer à la conservation de cette mémoire qui est en train de se perdre. Le livre que j’ai mis en chantier en janvier 2009, et pour lequel je sollicite votre participation, est destiné à conserver cet héritage. Pour information, je suis universitaire et spécialiste de psychologie ; ce qui explique en partie mon projet et la méthode que j’ai adoptée.
Je ne souhaite pas témoigner sur la "grande histoire" des pieds-noirs qui concerne la guerre et l’exode – et qui a fait déjà l’objet de nombreux livres – mais de la mémoire du quotidien, de ces mille et un petits riens de la vie qui passent inaperçus et qui pourtant fondent l'identité d'une communauté, révélée au travers de ses rites, de ses traditions, de ses bons mots, du souvenir des moments heureux ou malheureux ; bref, de ces petits détails qui façonnent les individus et qui influencent le mode de vie des enfants, petits enfants et arrière petits enfants de nos parents. Plus précisément, je m'intéresse à ce qui, dans ces modes de vie, se transmet de génération en génération, quelquefois de manière volontaire, plus souvent de manière incidente. Je souhaite témoigner sur les émotions et sur les sentiments ; ce dont on n’a finalement peu ou pas parlé et qui pourtant est notre plus profond dénominateur commun. Ceci, pour écrire un livre intitulé : "Mémoire de là-bas", auquel je vous propose de participer.
Pour préserver cette mémoire, et comprendre comment celle-ci se transmet, je procède à partir d’interviews de trois générations de pieds-noirs issues soit d’une même famille, soit (et parce qu’il est très difficile de remplir cette première condition) de familles différentes. La première génération concerne ceux qui avaient entre 30 et 40 ans au moment du départ, en 1962. La deuxième génération concerne ceux qui étaient adolescents en 1962, et qui avaient entre 13 et 20 ans. La troisième génération concerne les enfants nés en Métropole entre 1962 et 1982.
Je procède par des interviews individuelles d'une durée d’une à deux heures. Celles-ci sont enregistrées puis retranscrites. Je communique à l'interviewé le contenu de l'interview et il est libre de ne conserver que ce qu'il souhaite. Indépendamment de l'ouvrage, je transmets à chaque interviewé le manuscrit de son entretien.
Si mon projet vous intéresse, prenez contact avec moi, par téléphone (06 28 72 71 28) ou par courriel (Hubert.ripoll@univmed.fr).
Je vous remercie pour votre collaboration à cette entreprise
Le CES N° 1- l'école de saut . Philippeville 1955 .
JEUDI 24 JUILLET 2008
VOUS VOULEZ PARTICIPER À CETTE ENQUÊTE : FAITES-MOI PART DE VOS COMMENTAIRES ICI
Vous pensez à une/des question/s que vous aimeriez me voir poser aux personnes interviewées. Vous avez un avis sur la constitution de la mémoire des pieds-noirs, un souvenir, une émotion, que vous souhaitez faire partager dans "Mémoire de là-bas".
Merci de m'en faire part ici où à mon adresse e-mail : Hubert.ripoll@univmed.fr
PUBLIÉ PAR HUBERT RIPOLL
QUI SUIS-JE ?
HUBERT RIPOLL
CASSIS
Je suis né à Philippeville en 1947 J'habite Cassis (13) Je suis professeur de psychologie du sport à l'Université de la Méditerranée (Marseille)
COMMENT AVANCE MON TRAVAIL
J'ai démarré les interviews le 17 octobre 2008 par Marcel Weinachter, pied-noir de la première génération, né à Alger, puis par sa fille Nicole, née également à Alger, et d'André Navarro - première génération - né aussi à Alger.
Ceci m'a permis d'affiner ma méthode. J'ai par la suite interviewé les trois générations de la famille Muscat, qui vivait à Constantine, puis deux générations de la famille Canino, qui vivait à Philippeville.
Ces premières interviews m'ont permis de mieux préciser les contours de mon livre et le style d'écriture.
J'ai fait relire ces interviews à certains de leurs auteurs et leurs réactions m'ont touchées. Surtout les réactions des familles qui ont découvert, avec une grande surprise, ce qu'ils ne savaient pas de leurs parents ou de leurs enfants et petits enfants. Ils m'ont fait part de leurs émotions enfouies dans leur mémoire et bien rarement, voir jamais, exprimées.
J'ai ce livre en projet depuis très longtemps. J'ai toujours remis à plus tard. Il a fallu qu'un de mes proches, de la première génération, disparaisse pour que je me décide à m'y mettre avant qu'il ne soit trop tard. J'ai mis en chantier ce projet il y a déjà deux ans. J'ai beaucoup hésité, failli abandonner tant l'entreprise me semblait difficile, mûri aussi. Ces premiers retours m'ont convaincu de poursuivre.
Je vous attends pour votre interwiew
DESOLÉ . Mais OB me fait disparaitre mes photos sur l'Algérie de 1955/56..... Sur ordre ?
Vous ne verrez ni la place de Marquè ni la Caserne Mangin et cette grande place ou débute larue principale avec les arcades ....... Censure ?