5 octobre 2009
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Sans aucune jalousie , avec ma Minouche aux yeux bleus , nous parlons de nos aventures avant nos retrouvailles qui aboutirent a notre mariage .
Il faut être forts et s'aimer pour parler librement de ce qui aurait pu être notre autre vie . Elle me parle parfois d'un grand gars , brun et élancé.....Mon contraire !
Et moi je lui parle de Djamila ...... ma Princesse aux sein nus .
..........la première fois que je l'ai vue , chez son frère , capitaine parachutiste de l'armée Française , elle était quasiment nue sous une tenue en voile .
Aventure étrange que vous pouvez retrouver dans mes récits regroupés sous la référence Algérie 1954/55/56 . Elles furent mes plus belles nuits algériennes Cette femme par cet amour inattendu et son frère par son amitié sincère et sans faille , m'ont profondément marqué .
Je n'ai jamais su vraiment leurs origines , certaines personnes m'ont indiqué qu'ils étaient sans doute issus d'une tribu Kabyle , aux portes du désert . Djamila m'a toujours dit qu'elle était née sous une grande tente . Des hommes de sa familles ont été St Cyriens et cette famille avait des attaches nombreuses avec la France . Sorte de noblesse m'a-t-elle précisé .
La première fois que j'ai senti son petit corps chaud se blottir contre moi , je n'osais plus bouger quand j'ai réalisé qu'elle était toute nue .
Son frère n'a pas encouragé notre amour mais ne l'a pas empêché . Sa peau sentait l'orange , le citron et tous les fruits de la palmeraie . Je me souviens .......
...... elle s'accroche a moi et me supplie de ne pas , cette nuit , partir seul dans le djebel , pour "chouffer" d'éventuels mouvements fells . Je sais me déplacer sans bruit , je le sais toujours , et c'est ce qui m'a fait remarquer par le capitaine ( appelons le ) Chérif , détaché pour mission , du 11eme choc ( ce nid d'espions de l'armée Française ).
Bien sûr cette nuit comme les précédentes je vais partir seul, Chérif étant occupé ailleurs . C'est cela qui inquiète mon amante . Ses petits seins qui n'ont pas besoin de soutien-gorge , se pressent contre ma poitrine , petites pointes dures qui expriment son désir , son besoin d'amour .
Besoin d'amour , besoin de tendresse , petit corps chaud et doux , qui vit intensément .
La bas , vers les collines , un chacal hurle a la lune , les chiens d'une mechta proche lui répondent .
Je m'arrache des bras de ma princesse aux seins nus et j'ouvre la porte de la rue . L'haleine du djebel , m'arrive , m'enveloppe et m'appelle . Djamila sait que , encore ce soir , son appel sera le plus fort .
Je glisse ma main le long de ma hanche , mes grenades sont là , mes armes principales de défense . Avec Chérif , nous sommes les fantômes des collines , voir et ne pas être vus .
........c'était il y a cinquante ans , quelques part , près de Philippeville , devenu SKIDA .........
Je n'ai jamais oublié ces nuits Algériennes ou ma vie aurait pu basculer dans le néant !
Il faut être forts et s'aimer pour parler librement de ce qui aurait pu être notre autre vie . Elle me parle parfois d'un grand gars , brun et élancé.....Mon contraire !
Et moi je lui parle de Djamila ...... ma Princesse aux sein nus .
..........la première fois que je l'ai vue , chez son frère , capitaine parachutiste de l'armée Française , elle était quasiment nue sous une tenue en voile .
Aventure étrange que vous pouvez retrouver dans mes récits regroupés sous la référence Algérie 1954/55/56 . Elles furent mes plus belles nuits algériennes Cette femme par cet amour inattendu et son frère par son amitié sincère et sans faille , m'ont profondément marqué .
Je n'ai jamais su vraiment leurs origines , certaines personnes m'ont indiqué qu'ils étaient sans doute issus d'une tribu Kabyle , aux portes du désert . Djamila m'a toujours dit qu'elle était née sous une grande tente . Des hommes de sa familles ont été St Cyriens et cette famille avait des attaches nombreuses avec la France . Sorte de noblesse m'a-t-elle précisé .
La première fois que j'ai senti son petit corps chaud se blottir contre moi , je n'osais plus bouger quand j'ai réalisé qu'elle était toute nue .
Son frère n'a pas encouragé notre amour mais ne l'a pas empêché . Sa peau sentait l'orange , le citron et tous les fruits de la palmeraie . Je me souviens .......
...... elle s'accroche a moi et me supplie de ne pas , cette nuit , partir seul dans le djebel , pour "chouffer" d'éventuels mouvements fells . Je sais me déplacer sans bruit , je le sais toujours , et c'est ce qui m'a fait remarquer par le capitaine ( appelons le ) Chérif , détaché pour mission , du 11eme choc ( ce nid d'espions de l'armée Française ).
Bien sûr cette nuit comme les précédentes je vais partir seul, Chérif étant occupé ailleurs . C'est cela qui inquiète mon amante . Ses petits seins qui n'ont pas besoin de soutien-gorge , se pressent contre ma poitrine , petites pointes dures qui expriment son désir , son besoin d'amour .
Besoin d'amour , besoin de tendresse , petit corps chaud et doux , qui vit intensément .
La bas , vers les collines , un chacal hurle a la lune , les chiens d'une mechta proche lui répondent .
Je m'arrache des bras de ma princesse aux seins nus et j'ouvre la porte de la rue . L'haleine du djebel , m'arrive , m'enveloppe et m'appelle . Djamila sait que , encore ce soir , son appel sera le plus fort .
Je glisse ma main le long de ma hanche , mes grenades sont là , mes armes principales de défense . Avec Chérif , nous sommes les fantômes des collines , voir et ne pas être vus .
........c'était il y a cinquante ans , quelques part , près de Philippeville , devenu SKIDA .........
Je n'ai jamais oublié ces nuits Algériennes ou ma vie aurait pu basculer dans le néant !