2 novembre 2009
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08:40
............ il y a peu , a la poste du village , ils se sont rencontrés . En remplissant des imprimés il lui a chuchoté - tu fais toujours aussi bien l'amour ?
Il s'est pris une claque , elle est devenu rouge , il est sorti goguenard . Mais elle l'a rattrapé , l'a plaqué dans une encoignure du lavoir et lui a roulé un patin ......Quand il a repris son souffle elle lui a confirmé les ragots du village qui disent que Monsieur le Baron est homosexuel et ne lutine plus son épouse depuis longtemps . Il ne savait pas .
Depuis , quelquefois le soir , une ombre se glisse dans la salle d'escrime du château et plus particulièrement dans la chambre de madame qui donne sur cette salle . Ho , ce n'est plus comme en Mai 68 , Bebert a vieillit mais Bérénice sait lui faire revivre sa libido .
Redevenu amants , ayant confiance en elle , il lui raconte l'histoire de Poucette et du renard . Elle est émerveillée et découvre que le mot solidarité n'est pas vain chez les pauvres . Ces gens qui ne dénoncent pas la gamine a qui pourtant elle vole les oeufs et les poulets lui semble comme un conte de Noël . Après un brève passage dans la réalité de ce monde en Mai 68 elle était retombée dans le dédain pour les pauvres assez fréquent dans la noblesse .
A plus de soixante ans , Bérénice a de beaux restes comme on dit vulgairement . Petits seins haut placés , dont la pointe qui ressemble a une fraise des bois est toujours tournée , sous une main caressante , vers l'horizon de l'amour .
Et ça , pour les caresses , Bebert n'a pas perdu la main . Il aime caresser ses jambes qu'elle a fines , élégantes , arriver dans le velours de ses cuisses pour finir dans la broussaille de l'origine du monde . Elle aussi a des mains caressantes et grâce a elles ,il y a rarement de Waterloo dans leurs ébats . L'amour lui a fait retrouver un tonus et une joie de vivre que son vieux couillon de pédé lui avait fait perdre .
Elle l'a cloîtré , le bel homo , avec son "biquet" dans une autre aile du château pour lui permettre , elle , de recevoir tranquillement son amant . Elle a même envoyé paître le curé qui venait lui faire la morale en lui précisant qu'il devrait faire l'amour plus souvent pour être moins acariâtre . Quand madame la Baronne chauffe , fait pas bon de la contrarier !
Faut dire que Bérénice descend de la noblesse d'épée et Monsieur d'une noblesse de robe . Dans la salle d'escrime , que ce soit au sabre au fleuret ou a l'épée , Bérénice lui flanquaient de véritables déculottées . Un jour elle lui a même proposé de tiré au fleuret non moucheté pour voir ce qu'il avait dans le pantalon . Bébert aime bien ces histoires qui le fait rire aux larmes . Mais Bébert est un teigneux et il a défié Bérénice avec un bâton contre son épée . En deux minutes elle était désarmée, la rue de Lappe avait vaincu l'avenue Mozart ! Mais finalement c'est la rue de Lappe qui a succombé sous les assauts amoureux de l'avenue Mozart .
Photo Bellamy......mais je ne sais plus lequel ou laquelle !
Bébert et Victor ont suivis les traces de Poucette et Chouky mais n'ont pas pu descendre dans la combe accidentée ou se cache la grotte . Ils ont vu la fumée s'élever d'une petite crevasse qui doit donner au dessus de cette grotte . Ils comprennent pourquoi personne ne les avaient dénichées . Souvent de légères fumerolles s'élèvent de ces petites crevasses dont l'origine serait la macération de déchets naturels . C'est ce qu'on voit au dessus de certaines champignonnières .
Maintenant ils savent ou elles sont car même sans voir , pour eux , c'est sûr , elles sont ensemble dans quelque grotte de cette combe inaccessible ou presque . Ils reviennent rassurés sur le sort de ces chapardeuses .
Et puis un soir...........
Poucette et Chouky sont maintenant certaines de leur impunité et d'une certaine bienveillance des gens de la Rue des Bois , alors leur vigilance habituelle s'est un peu relâchée . Elle n'ont pas vu un petit objet métallique en deux endroit de la porte du poulailler et pour comble d'imprudence Chouky est rentrée elle aussi dans le poulailler .
Un petit déclic et deux solides verrous sont venus fermer hermétiquement la porte du poulailler .
Prisonnières , Poucette comprend mais elle calme Chouky quand elle aperçoit Bebert , avec sur le lèvres un petit sourire narquois
- ne bougez pas les belles , on ne vous veux pas de mal , simplement parler avec toi et ton renard .
Bébert , qui pense qu'elles ne vont pas fuir , ouvre la porte et les attend dehors .
Et là les deux compères vont assister a deux scènes ahurissantes ...........
A suivre.......si vous le voulez bien .
Il s'est pris une claque , elle est devenu rouge , il est sorti goguenard . Mais elle l'a rattrapé , l'a plaqué dans une encoignure du lavoir et lui a roulé un patin ......Quand il a repris son souffle elle lui a confirmé les ragots du village qui disent que Monsieur le Baron est homosexuel et ne lutine plus son épouse depuis longtemps . Il ne savait pas .
Depuis , quelquefois le soir , une ombre se glisse dans la salle d'escrime du château et plus particulièrement dans la chambre de madame qui donne sur cette salle . Ho , ce n'est plus comme en Mai 68 , Bebert a vieillit mais Bérénice sait lui faire revivre sa libido .
Redevenu amants , ayant confiance en elle , il lui raconte l'histoire de Poucette et du renard . Elle est émerveillée et découvre que le mot solidarité n'est pas vain chez les pauvres . Ces gens qui ne dénoncent pas la gamine a qui pourtant elle vole les oeufs et les poulets lui semble comme un conte de Noël . Après un brève passage dans la réalité de ce monde en Mai 68 elle était retombée dans le dédain pour les pauvres assez fréquent dans la noblesse .
A plus de soixante ans , Bérénice a de beaux restes comme on dit vulgairement . Petits seins haut placés , dont la pointe qui ressemble a une fraise des bois est toujours tournée , sous une main caressante , vers l'horizon de l'amour .
Et ça , pour les caresses , Bebert n'a pas perdu la main . Il aime caresser ses jambes qu'elle a fines , élégantes , arriver dans le velours de ses cuisses pour finir dans la broussaille de l'origine du monde . Elle aussi a des mains caressantes et grâce a elles ,il y a rarement de Waterloo dans leurs ébats . L'amour lui a fait retrouver un tonus et une joie de vivre que son vieux couillon de pédé lui avait fait perdre .
Elle l'a cloîtré , le bel homo , avec son "biquet" dans une autre aile du château pour lui permettre , elle , de recevoir tranquillement son amant . Elle a même envoyé paître le curé qui venait lui faire la morale en lui précisant qu'il devrait faire l'amour plus souvent pour être moins acariâtre . Quand madame la Baronne chauffe , fait pas bon de la contrarier !
Faut dire que Bérénice descend de la noblesse d'épée et Monsieur d'une noblesse de robe . Dans la salle d'escrime , que ce soit au sabre au fleuret ou a l'épée , Bérénice lui flanquaient de véritables déculottées . Un jour elle lui a même proposé de tiré au fleuret non moucheté pour voir ce qu'il avait dans le pantalon . Bébert aime bien ces histoires qui le fait rire aux larmes . Mais Bébert est un teigneux et il a défié Bérénice avec un bâton contre son épée . En deux minutes elle était désarmée, la rue de Lappe avait vaincu l'avenue Mozart ! Mais finalement c'est la rue de Lappe qui a succombé sous les assauts amoureux de l'avenue Mozart .
Photo Bellamy......mais je ne sais plus lequel ou laquelle !
Bébert et Victor ont suivis les traces de Poucette et Chouky mais n'ont pas pu descendre dans la combe accidentée ou se cache la grotte . Ils ont vu la fumée s'élever d'une petite crevasse qui doit donner au dessus de cette grotte . Ils comprennent pourquoi personne ne les avaient dénichées . Souvent de légères fumerolles s'élèvent de ces petites crevasses dont l'origine serait la macération de déchets naturels . C'est ce qu'on voit au dessus de certaines champignonnières .
Maintenant ils savent ou elles sont car même sans voir , pour eux , c'est sûr , elles sont ensemble dans quelque grotte de cette combe inaccessible ou presque . Ils reviennent rassurés sur le sort de ces chapardeuses .
Et puis un soir...........
Poucette et Chouky sont maintenant certaines de leur impunité et d'une certaine bienveillance des gens de la Rue des Bois , alors leur vigilance habituelle s'est un peu relâchée . Elle n'ont pas vu un petit objet métallique en deux endroit de la porte du poulailler et pour comble d'imprudence Chouky est rentrée elle aussi dans le poulailler .
Un petit déclic et deux solides verrous sont venus fermer hermétiquement la porte du poulailler .
Prisonnières , Poucette comprend mais elle calme Chouky quand elle aperçoit Bebert , avec sur le lèvres un petit sourire narquois
- ne bougez pas les belles , on ne vous veux pas de mal , simplement parler avec toi et ton renard .
Bébert , qui pense qu'elles ne vont pas fuir , ouvre la porte et les attend dehors .
Et là les deux compères vont assister a deux scènes ahurissantes ...........
A suivre.......si vous le voulez bien .