LA CABANE DU JARDINIER......

03.11.2013

    Il habitait pas loin de chez elle . Vieux bonhomme digne qui vivait seul dans sa petite bicoque du bout du village , sur un bout de terrain pas cher , parce que réputé inondable .
    Il avait été un homme important dans la société qui l'employait mais il n'était plus qu'un monsieur digne que les édiles locaux saluaient toujours avec respect . Parfois il lui rendait des petits services et comme ils étaient instruits et intelligents tous les deux , leurs conversations avaient du relief , autour de la table de jardin sur sa terrasse a elle .
    Elle , une belle plante , comme on dit maintenant , sure de sa beauté , de sa jeunesse , aimé et aimant un beau garçon , un homme normal ,mais dont le métier faisait qu'il était souvent absent .
    Au fil de leurs conversations , le vieux et la belle , il leur a semblé qu'il leur manquait quelque chose a tous les deux . Lui c'est sur , manquait d'amour et de tendresse mais pouvait-il pensé encore a l'amour a son âge .
    Elle ne manquait de rien , tout du moins en apparence . Mais le vieux sage allait lui dévoiler la nature de ce petit malaise qu'elle sentait parfois , le manque de tendresse .

    Un jour que l'orage grondait et rendait l'atmosphère électrique , elle l'invita comme d'habitude , a prendre un café sous la véranda . Elle avait un short court qui magnifiait ses cuisses et ses seins étaient nus sous le léger T-shirt . Elle n'y faisait pas attention , ce n'était qu'un vieux monsieur , un vieil ami .
    Pourtant ce jour là , ils se sont regardés avec intensité , sans pouvoir refuser ces regards inhabituels . Sans cesser de la regarder il mis sa main sur son genoux et remonta vers la naissance du monde ....par une sorte de caresse mais il s'arrêta avant de toucher le centre de ses cuisses qu'elle avait inconsciemment écartées .
Il enleva sa main pour la poser sur son épaule qu'il avait dénudée . Il souleva son
T-shirt et lentement lui caressa ses seins .....toujours avec une certaine tendresse , posant sa bouche sur leurs pointes qui durcissaient de plaisir .

    Elle gémissait doucement sous les caresses différentes du vieil homme , différentes des caresses mâtes et énergiques auxquelles elle était habituée .....sa respiration était de plus en plus courte , d'une voix devenue rauque elle lui dit "viens" et l'entraîna sur le lit de sangle dans la cabane du jardinier .

    Maintenant ils y retournent souvent...........