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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 15:40

    Nous étions le dernier pays d'Europe a appliquer la peine capitale , il n'y avait pas de quoi en être fier .
    A l'Assemblé Nationale ,par 369 voix pour , contre 113 , Robert Badinter , Ministre de la Justice , tiens la promesse de campagne de Mitterrand .
    Je vous laisse commenter .

 

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commentaires

D
<br /> <br /> JEAN<br /> <br /> <br /> Je suis tout coeur avec toi ,j'ai toujours été contre la peine de mort ,combiens de personnes qu'ils ont passer par là et qu'ils étaient innoncents la preuve hier   auxUSA  le<br /> pauvre il ont assassiner ,comment peut ont faire des choses ainsi ,rein ne changera dans cette putain de vie ,désoler Jean pour ce mot ,;ils y aura toujours des criminelles ,des sadiques sur<br /> enfants ,,des assassinas ,et alors ,cela CHANGERA QUOI ?????????? REIN ,mais personnes ne comprends je ne suis pas une expert mais cela me bouleverse ,la connerie des ge,ns tous contents que<br /> justice soit faîtes ,non elle fait plus d'erreur qu'autre chose ,merci pour cet article je t'embrasse et caresses à tes beaux félins dan<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Tu as parfaitement raison Dan , pourtant les américains sont croyant . Un commandement de dieu dit " tu ne tueras point " .....<br /> <br /> <br /> Caresses a tes toutous .<br /> <br /> <br /> Bisous<br /> <br /> <br /> Jean<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> Bonsoir,JEAN,<br /> <br /> <br /> Ce soir aux USA....On va assassiner un innocent...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Alphonse de LAMARTINE   (1790-1869)<br /> <br /> <br /> <br /> Contre la peine de mort<br /> <br /> <br /> (Au peuple du 19 octobre 1830)<br /> <br /> Vains efforts ! périlleuse audace !<br /> Me disent des amis au geste menaçant,<br /> Le lion même fait-il grâce<br /> Quand sa langue a léché du sang ?<br /> Taisez-vous ! ou chantez comme rugit la foule ?<br /> Attendez pour passer que le torrent s'écoule<br /> De sang et de lie écumant !<br /> On peut braver Néron, cette hyène de Rome!<br /> Les brutes ont un coeur! le tyran est un homme :<br /> Mais le peuple est un élément ;<br /> <br /> Elément qu'aucun frein ne dompte,<br /> Et qui roule semblable à la fatalité ;<br /> Pendant que sa colère monte,<br /> Jeter un cri d'humanité,<br /> C'est au sourd Océan qui blanchit son rivage<br /> Jeter dans la tempête un roseau de la plage,<br /> La feuille sèche à l'ouragan !<br /> C'est aiguiser le fer pour soutirer la foudre,<br /> Ou poser pour l'éteindre un bras réduit en poudre<br /> Sur la bouche en feu du volcan !<br /> <br /> Souviens-toi du jeune poète,<br /> Chénier ! dont sous tes pas le sang est encor chaud,<br /> Dont l'histoire en pleurant répète<br /> Le salut triste à l'échafaud .<br /> Il rêvait, comme toi, sur une terre libre<br /> Du pouvoir et des lois le sublime équilibre ;<br /> Dans ses bourreaux il avait foi !<br /> Qu'importe ? il faut mourir, et mourir sans mémoire :<br /> Eh bien ! mourons, dit-il. Vous tuez de la gloire :<br /> J'en avais pour vous et pour moi !<br /> <br /> Cache plutôt dans le silence<br /> Ton nom, qu'un peu d'éclat pourrait un jour trahir !<br /> Conserve une lyre à la France,<br /> Et laisse-les s'entre-haïr ;<br /> De peur qu'un délateur à l'oreille attentive<br /> Sur sa table future en pourpre ne t'inscrive<br /> Et ne dise à son peuple-roi :<br /> C'est lui qui disputant ta proie à ta colère,<br /> Voulant sauver du sang ta robe populaire,<br /> Te crut généreux : venge-toi !<br /> <br /> Non, le dieu qui trempa mon âme<br /> Dans des torrents de force et de virilité,<br /> N'eût pas mis dans un coeur de femme<br /> Cette soif d'immortalité.<br /> Que l'autel de la peur serve d'asile au lâche,<br /> Ce coeur ne tremble pas aux coups sourds d'une hache,<br /> Ce front levé ne pâlit pas !<br /> La mort qui se trahit dans un signe farouche<br /> En vain, pour m'avertir, met un doigt sur sa bouche :<br /> La gloire sourit au trépas.<br /> <br /> Il est beau de tomber victime<br /> Sous le regard vengeur de la postérité<br /> Dans l'holocauste magnanime<br /> De sa vie à la vérité !<br /> L'échafaud pour le juste est le lit de sa gloire :<br /> Il est beau d'y mourir au soleil de l'histoire,<br /> Au milieu d'un peuple éperdu !<br /> De léguer un remords à la foule insensée,<br /> Et de lui dire en face une mâle pensée,<br /> Au prix de son sang répandu.<br /> <br /> Peuple, dirais-je ; écoute ! et juge !<br /> Oui, tu fus grand, le jour où du bronze affronté<br /> Tu le couvris comme un déluge<br /> Du reflux de la liberté !<br /> Tu fus fort, quand pareil à la mer écumante,<br /> Au nuage qui gronde, au volcan qui fermente,<br /> Noyant les gueules du canon,<br /> Tu bouillonnais semblable au plomb dans la fournaise,<br /> Et roulais furieux sur une plage anglaise<br /> Trois couronnes dans ton limon !<br /> <br /> Tu fus beau, tu fus magnanime,<br /> Le jour où, recevant les balles sur ton sein,<br /> Tu marchais d'un pas unanime,<br /> Sans autre chef que ton tocsin ;<br /> Où, n'ayant que ton coeur et tes mains pour combattre,<br /> Relevant le vaincu que tu venais d'abattre<br /> Et l'emportant, tu lui disais :<br /> Avant d'être ennemis, le pays nous fit frères ;<br /> Livrons au même lit les blessés des deux guerres :<br /> La France couvre le Français !<br /> <br /> Quand dans ta chétive demeure,<br /> Le soir, noirci du feu, tu rentrais triomphant<br /> Près de l'épouse qui te pleure,<br /> Du berceau nu de ton enfant !<br /> Tu ne leur présentais pour unique dépouille<br /> Que la goutte de sang, la poudre qui te souille,<br /> Un tronçon d'arme dans ta main ;<br /> En vain l'or des palais dans la boue étincelle,<br /> Fils de la liberté, tu ne rapportais qu'elle :<br /> Seule elle assaisonnait ton pain !<br /> <br /> Un cri de stupeur et de gloire<br /> Sorti de tous les coeurs monta sous chaque ciel,<br /> Et l'écho de cette victoire<br /> Devint un hymne universel.<br /> Moi-même dont le coeur date d'une autre France,<br /> Moi, dont la liberté n'allaita pas l'enfance,<br /> Rougissant et fier à la fois,<br /> Je ne pus retenir mes bravos à tes armes,<br /> Et j'applaudis des mains, en suivant de mes larmes<br /> L'innocent orphelin des rois !<br /> <br /> Tu reposais dans ta justice<br /> Sur la foi des serments conquis, donnés, reçus ;<br /> Un jour brise dans un caprice<br /> Les noeuds par deux règnes tissus !<br /> Tu t'élances bouillant de honte et de délire :<br /> Le lambeau mutilé du gage qu'on déchire<br /> Reste dans les dents du lion.<br /> On en appelle au fer; il t'absout ! Qu'il se lève<br /> Celui qui jetterait ou la pierre, ou le glaive<br /> A ton jour d'indignation !<br /> <br /> Mais tout pouvoir a des salaires<br /> A jeter aux flatteurs qui lèchent ses genoux,<br /> Et les courtisans populaires<br /> Sont les plus serviles de tous !<br /> Ceux-là des rois honteux pour corrompre les âmes<br /> Offrent les pleurs du peuple ou son or, ou ses femmes,<br /> Aux désirs d'un maître puissant ;<br /> Les tiens, pour caresser des penchants plus sinistres,<br /> Te font sous l'échafaud, dont ils sont les ministres,<br /> Respirer des vapeurs de sang !<br /> <br /> Dans un aveuglement funeste,<br /> Ils te poussent de l'oeil vers un but odieux,<br /> Comme l'enfer poussait Oreste,<br /> En cachant le crime à ses yeux !<br /> La soif de ta vengeance, ils l'appellent justice :<br /> Et bien, justice soit ! Est-ce un droit de supplice<br /> Qui par tes morts fut acheté ?<br /> Que feras-tu, réponds, du sang qu'on te demande ?<br /> Quatre têtes sans tronc, est-ce donc là l'offrande<br /> D'un grand peuple à sa liberté ?<br /> <br /> N'en ont-ils pas fauché sans nombre ?<br /> N'en ont-ils pas jeté des monceaux, sans combler<br /> Le sac insatiable et sombre<br /> Où tu les entendais rouler ?<br /> Depuis que la mort même, inventant ses machines,<br /> Eut ajouté la roue aux faux des guillotines<br /> Pour hâter son char gémissant,<br /> Tu comptais par centaine, et tu comptas par mille !<br /> Quand on presse du pied le pavé de ta ville,<br /> On craint d'en voir jaillir du sang !<br /> <br /> - Oui, mais ils ont joué leur tête.<br /> - Je le sais; et le sort les livre et te les doit!<br /> C'est ton gage, c'est ta conquête ;<br /> Prends, ô peuple! use de ton droit.<br /> Mais alors jette au vent l'honneur de ta victoire;<br /> Ne demande plus rien à l'Europe, à la gloire,<br /> Plus rien à la postérité !<br /> En donnant cette joie à ta libre colère,<br /> Va-t'en; tu t'es payé toi-même ton salaire :<br /> Du sang, au lieu de liberté !<br /> <br /> Songe au passé, songe à l'aurore<br /> De ce jour orageux levé sur nos berceaux ;<br /> Son ombre te rougit encore<br /> Du reflet pourpré des ruisseaux !<br /> Il t'a fallu dix ans de fortune et de gloire<br /> Pour effacer l'horreur de deux pages d'histoire.<br /> Songe à l'Europe qui te suit<br /> Et qui dans le sentier que ton pied fort lui creuse<br /> Voit marcher tantôt sombre et tantôt lumineuse<br /> Ta colonne qui la conduit !<br /> <br /> Veux-tu que sa liberté feinte<br /> Du carnage civique arbore aussi la faux ?<br /> Et que partout sa main soit teinte<br /> De la fange des échafauds ?<br /> Veux-tu que le drapeau qui la porte aux deux mondes,<br /> Veux-tu que les degrés du trône que tu fondes,<br /> Pour piédestal aient un remords ?<br /> Et que ton Roi, fermant sa main pleine de grâces,<br /> Ne puisse à son réveil descendre sur tes places,<br /> Sans entendre hurler la mort ?<br /> <br /> Aux jours de fer de tes annales<br /> Quels dieux n'ont pas été fabriqués par tes mains ?<br /> Des divinités infernales<br /> Reçurent l'encens des humains !<br /> Tu dressas des autels à la terreur publique,<br /> A la peur, à la mort, Dieux de ta République ;<br /> Ton grand prêtre fut ton bourreau !<br /> De tous ces dieux vengeurs qu'adora ta démence,<br /> Tu n'en oublias qu'un, ô peuple ! la Clémence !<br /> Essayons d'un culte nouveau.<br /> <br /> Le jour qu'oubliant ta colère,<br /> Comme un lutteur grandi qui sent son bras plus fort,<br /> De l'héroïsme populaire<br /> Tu feras le dernier effort ;<br /> Le jour où tu diras : Je triomphe et pardonne !...<br /> Ta v<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Merci Patrick........<br /> <br /> <br /> Oui ce soir aux USA , on va assassiner un innocent...... rien d'extraordnaire dans ce pays "de la liberté" ....ils sont pourtant très religieux et il me semble que dans les dix commandements il y<br /> en a un qui dit "tu ne tuera point" ....<br /> <br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> <br /> Jean<br /> <br /> <br /> <br />
O
<br /> <br /> Bonjour Jean,<br /> <br /> <br /> Je suis contre la peine de mort, trop d'injustice, trop de morts pour rien. Toutes ces victimes de la guillotine...<br /> <br /> <br /> Mais aussi, quand je pense aux enfants torturés par des malades, par des fous... Je me demande ce qu'il faut faire... Tous ces récidivistes, qui violent et tuent... Et je pense à ma grande<br /> famille et j'ai peur pour mes enfants...<br /> <br /> <br /> Alors parfois je me dis, pourquoi pas la peine de mort, rien qu pour ces gens là qui n'ont aucune conscience...<br /> <br /> <br /> Bise à toi <br /> <br /> <br /> Fauvette<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Bonjour Fauvette<br /> <br /> <br /> TOn commentaire est partagé par biendes gens , moi le premier , mais il faut penser aux innocents ! Combien ont été guillotinés....dont après coup ona découvert leur innocence....trop tard i<br /> <br /> <br /> Bisous  fauvette<br /> <br /> <br /> Jean<br /> <br /> <br /> <br />
O
<br /> <br /> BONJOUR JEAN !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />         Ouaip !...... Il fait ce qu'il veut Badinter, mais moi je ne me suis JAMAIS érigé en DIEU pour imposer une idée MINORITAIRE !<br /> <br /> <br />         Et pourtant combien de fois j'avais raison !.................C'est çà respecter les AUTRES !...................Autrement c'est du TOTALITARISME<br /> !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Salut Jean !<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Bonjour Rémy.....<br /> <br /> <br /> Je maintien mon admiration pour le combat de Badinter car souviens-toi que ce fût un rude combat .<br /> <br /> <br /> Tes arguments sont très valable.....mais attention en partant de là , de Gaulle avait-il raison de s'opposer au gouvernement "Légal" mais fantoche de Vichy ....... dans l'histoire du monde des<br /> hommes sont toujours allés au dela des majorités ......<br /> <br /> <br /> Salut Rémy<br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> <br /> Encore moi :  Cette abolition que j'avais tendance à accepter , en fin de compte j'ai fini par regretter - J'aurais bien raccourci un Emile Louis , un Dutroux ...Pas de pardon pour<br /> qui s'attaque aux enfants !!!  PAS DE PARDON !!!  On les entretient en prison , à nos frais ...et un jour ils sortiront ! Maintenant j'ai le plus grand respect pour Maître Badinter<br /> !<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Nul ne peut s'arroger le droit de donner la mort ....... Jésus a bien pardonné !<br /> <br /> <br /> Le procureur qui demandait et obtenait la mort , aurait-il eu le courage d'appliquer la sentence ! Combien d'innocent avons nous tué ?<br /> <br /> <br /> <br />

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  • : le blog de Jean Le Francilien
  • : journal d'un vieux raleur mais bon coeur , a fait son service militaire en Algérie 1954, 55,56 , ancien para pour le sport et pas pour la guerre , viscéralement a gauche pour la justice et la liberté .
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  • jean le francilien
  • suis raleur , critique, mais bon coeur . J'admets tres bien l'humour mªme sur mon physique de vieux pépé. J'aime la jeunesse qui en général me le rend bien . J'aime la vie avec passion !
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IL ÉTAIT MON AMI , MON CONFIDENT ......

..... NOUS NE T'OUBLIONS PAS MON TIGROO ......LA DOUCEUR MÊME ......CELUI QUI T'A TUÉ EST UN MONSTRE , IL PAIERA SA MÉCHANCETÉ .....

LE JARDIN DE MA FEMME 0222

Il était très beau ......RSCN0209                                              avec son frère ,ils ne se quittaient pas ....

LES-CHATONS 0627

Là,après le premier plomb,devenu borgne.....le deuxième dans l'oeil droit ,un an après , l'a tué !

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